Icinga 2 gère les tâches classiques de ce que nous pouvons
attendre d’un outil de supervision : exécution des contrôles, envoi de
notifications d’alerte, enregistrement des événements… De ce côté-là, le
système est axé sur la performance avec une conception multithread. L’équipe
annonce avoir fait tourner sur une machine 1 million de
contrôles actifs pour 60 000 hôtes supervisés, sans problèmes. En comparaison avec la version 1, il faut 100 fois plus de contrôles à lcinga 2
pour arriver au même niveau de latence.
Modularité:
La conception modulaire permet d’éclater les rôles sur
différentes machines afin de répartir les charges. Quand on voit les
performances annoncées, je ne suis pas sûr que ce soit la fonctionnalité la
plus utilisée
Distribution:
Dans les fonctionnalités les plus alléchantes à mon gout, c’est
la surveillance distribuée. En mode distribué, on peut créer plusieurs
instances de serveurs satellites qui effectueront leurs surveillances sur une
zone et remonter les données à la zone centrale. Également distribuer tout la
supervision en équipant les satellites
de certains rôles, grâce à la modélisation.
Clusterisation:
Suivant les cas, la clusterisation de l’infrastructure peut
être intéressante pour assurer un service haut disponibilité. Là encore, Icinga
2 met en avant sa flexibilité en donnant la possibilité de mixer
clusterisation, modélisation et distribution !
Historisation:
Concernant la base de données, Icinga prend en charge Oracle
et PostgreSQL en plus de MySQL pour l’historisation des données.
Notification:
Notification des personnes de contact en cas de problème de
service ou de l'hôte se produisent et sont résolues (via email, ou une méthode
définie par l'utilisateur)
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